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NOTRE ÉQUIPE

Conseil d’administration

Je suis née et j’ai grandi dans le sud-est de l’Angleterre. Je me passionnais de vitesse, qu’il s’agisse de voitures ou de chevaux, et j’adorais participer aux gymkhanas et aux concours hippiques de ma localité.

Dans la vingtaine, je me suis demandé si la vie recelait plus. J’avais besoin de canaliser mon esprit d’aventure. J’ai trouvé un but auprès d’Initiatives et Changement. Même après beaucoup d’années, la devise « Connexion – correction – direction » me fascine encore. Il faut que ce soit le cas, car je me suis engagée avec Initiatives et Changement depuis plus de 50 ans. Dieu ou le Créateur m’a tapée sur l’épaule et n’a cessé de le faire!

Partout où j’ai vécu, je me suis appliquée à répondre à la problématique de la ville. J’ai fait du bénévolat auprès d’un centre d’hébergement d’urgence pour jeunes, d’un conseil sur les relations raciales et de la Société Elizabeth Fry. Depuis six ans, j’enseigne l’anglais, langue seconde, je coordonne ce programme et j’accueille les nouveaux arrivants dans ma ville. Je considère avec beaucoup de reconnaissance ces expériences comme mon deuxième cycle d’éducation.

Je suis née à Rangoon, en Birmanie, fille de Harry Zaw-Tun et de Khin Khin Tway.

Nous avons quitté la Birmanie en 1968 et sommes passés par l’Éthiopie et la Tanzanie avant d’arriver au Canada, en 1973. C’est en 1977 que j’ai d’abord entendu parler du Réarmement moral, qui est plus tard devenu I&C.

Durant mes études en agriculture, j’ai travaillé dans la ferme des Bocock pendant quelques étés. Les Bocock connaissent I&C depuis longtemps.

En 1979, j’ai assisté au forum de Caux. Bien que je n’aie jamais été membre officielle d’I&C, j’ai participé à certains de leurs événements en Alberta ainsi qu’en Colombie-Britannique.

Je suis actuellement administratrice à temps partiel d’une église, et je suis bénévole dans l’atelier de sculpture situé au parc Fort Edmonton, ainsi qu’à la Sculptors Association de l’Alberta.

J’ai trois enfants adultes ainsi qu’un petit-fils. Mon mari, le Dr Sunil Datar, ne semble pas vouloir prendre sa retraite. Nous vivons à l’extérieur de St. Albert, en Alberta, sur une acre de terre. Jack Freebury m’a servi de mentor, et les Bocock, de parrain et de marraine.

Catherine est vice-présidente de la North American Masaaba Cultural Association (NAMCA).

Enseignante compétente, elle comprend le comportement humain. Elle a aussi compris que le changement doit d’abord commencer par soi-même.

Catherine détient un brevet d’enseignement, ainsi qu’un baccalauréat et une maîtrise de l’université Makerere en Ouganda, dans l’est de l’Afrique. Elle a également obtenu un diplôme en études théologiques de l’Alexandria Seminary, situé en Virginie, aux États-Unis.

Originaire du Sri Lanka, Mangalam Lena est née dans une famille de onze enfants dont les parents profondément chrétiens étaient bienveillants. Elle tend tout particulièrement la main aux laissés pour compte de la société. À 17 ans, elle a choisi de vouer sa vie au service de l’humanité et s’est jointe aux Franciscaines Missionnaires de Marie. Au Canada, elle a obtenu un baccalauréat en théologie, une maîtrise en études pastorales et un doctorat en pastorale sacerdotale de l’Université Saint-Paul, à Ottawa. Elle a suivi le programme Tierce partie neutre (TPN) de l’Institut canadien pour la résolution des conflits. L’une de ses plus grandes réalisations consiste en la mise sur pied d’un projet pilote, le Centre de soins spirituels à domicile, une organisation sans but lucratif ayant pour objectif de fournir des soins spirituels et religieux aux malades, aux personnes âgées et aux gens isolés, confinés à la maison.

Je me nomme Iman Al Ghafari et je vis en Syrie. J’ai d’abord entendu parler d’I&C à Toronto, par l’entremise de mon amie Jessie. Depuis les événements du 11 septembre, je souhaite ardemment bâtir des ponts entre musulmans et non-musulmans. Or, I&C m’offre cette opportunité. Nous avons utilisé L’imam et le pasteur pour permettre à des gens de mieux se connaître, en toute sécurité. Je suis revenue en Syrie juste avant la guerre, ce qui m’a fourni l’occasion de travailler à la paix et au changement à Damas, ainsi que dans les campagnes environnantes.

Bien que j’aie dû rentrer chez moi, je garde contact avec I&C Canada sur Zoom, au moyen de son programme Créatrices de paix. Les liens que j’y ai noués m’ont aidée à apprendre, à changer et à grandir. J’ai trouvé beaucoup d’inspiration au Canada, et j’en suis reconnaissante. Je veux donc servir ce pays en lui faisant part de ce que la guerre et la paix m’ont appris relativement à la paix intérieure et au changement personnel.

NOTRE ÉQUIPE

Gestionnaire de projet à temps plein et coordonnateur provincial au Québec, Joseph vit à Montréal. Il prône des valeurs humaines et spirituelles, et possède des compétences en organisation, ainsi qu’une vaste expérience dans le domaine de l’administration, des finances et de la gestion de projets. Il a acquis cette expérience au fil des 18 années durant lesquelles il a travaillé pour l’Agence de coopération et de recherche pour le développement (ACORD), une organisation internationale et non gouvernementale située au Rwanda, son pays d’origine. C’est d’ailleurs là qu’il a connu I&C.

Détenteur d’un baccalauréat en gestion de projets, Joseph est titulaire d’un certificat de la Community Trustbuilding Fellowship (Richmond, États-Unis). Il a siégé aux conseils de plusieurs organisations nationales et internationales en Afrique et au Canada, et a joué un rôle important dans le cadre du projet Bâtir la confiance au Canada.